(grimlok)[paladin 70]

je mappel grimlok je suis un paladin 70 et j ai 56 en sacré et 5 en protect(pour l aura de devotion)

j ai jouez a guilde wars 1ans puis a wow et sa fait 1ans et demi que je joue.j ai deja deux persos 60 un chasseur et un voleur .

je ne suis pas trop pvp mais beaucoup pve je souhaite rejoindre votre guilde pour avancé en pve et pour m épanouir dans mon role de paladin.

j ai cotoyé pas mal de guilde mais ils etait soit dissout soit trop petite ma derniere guilde etait random que j ai quitté car je ne me sentait pas l aise.

Je n est aucune clé heroique mais j ai ma clé karazhan.

Je ne joue jamais l aprés midi a part le week je joue le soir en general environ 5 soirs par semaine.

trop need le roi des troggs d'Uldaman parmis nous !

PGM du flood Nombre de messages : 1355 Date d'inscription : 13/06/2006 Age : 37

Ton but est de tuer les plus gros boss hl pour te venger a grand coup de marteau du courroux et de hache de connétable?

il me manque la hache de connetable mais je prefere vous soigner^^

argh j avais fait un texte rp de 3pages fausse manip et plus rien!!!!!!!

C'la nouvelle génération d'alastorn cyclops

Voici qu’approche à grand pas l’heure de la bataille. Bientôt, toutes les races d’Azeroth s’ébranleront pour défendre leur avenir. Mais nul ne peut encore prédire qui l’emportera.

Partout, de nouvelles recrues rejoignent et grossissent les rangs de l’Alliance, mais peu ont l’honneur de servir l’Ordre de la Lumière. Parmi les plus braves guerriers de l’alliance se dressent les paladins, défenseurs des plus faibles et fidèles serviteurs de la lumière.
Mais l’un d’eux semble semble différent des autres…son passé est sombre et chaotique.

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C’est une nuit calme qui s’annonçait pour le village de Stranhbrad, et il est bon d’en profiter lorsqu’on n’en a plus connu de telle depuis les événements passés. Le genre de nuit idéale pour le Gang des Defias qui ne raterais jamais une occasion de semer la terreur. Il aura fallu peu de temps pour que la ville soit encerclée et infiltrée. Leur première étape fut la ronde de nuit. Puis, ils mirent le feu aux fermes et pillèrent les premières maisons. Telle une ombre, ils se glissèrent dans les plus petites ruelles, et rien ne semblait pouvoir les arrêter. La résistance s’organisa tant bien que mal devant l’Eglise, mais le Gang était partout, tuant sans scrupules les villageois qui fuyaient.
Alertée par les cris et la fumée, la garde du village voisin se précipita à leur secours, mais trop tard. A leur arrivée, les Defias étaient déjà loin, et avaient emportés dans leur fuite quelques otages à marchander. Parmi eux, une famille comme les autres…. ma famille.

Une expédition fut créée pour les retrouver… mais ce sont eux qui nous ont trouvés alors que nous traversions la forêt. Surgissant de nulle part, ils décimèrent l’un après l’autre les gardes, et bientôt, je me retrouvai seul face à leur chef. Je pensais ma mort proche, mais je me trompais. Appréciant ma technique de combat, il me demanda de rejoindre leur groupe sous peine d’exécuter tous les otages en cas de refus. Pire que la mort, il me fallu vivre avec la honte d’être devenu ce que je détestais. Pour mettre ma loyauté à l’épreuve, il me demande d’assassiner un homme, le seul qui puisse encore se dresser contre le plus grand projet des Defias…nécessitant la participation des gnolls et des kobolds, ainsi que la technologie des gobelins… Uther Lightbringer.

A la tête d’un petit groupe, je pris d’assaut la cathédrale de Lordaeron. La ville semblait déserte, la majorité des troupes étant sur le front, tentant de mettre un terme à la menace du fléau. Il ne fallut que quelques minutes pour réussir à atteindre la nef principale. Il était la, en face de moi, et ne me quittait pas du regard. Mais ce n’était pas un regard de haine ou de colère… je ne sais pourquoi, mais Uther avait pitié de moi… et de ce que j’étais devenu. Trop de questions emplissaient mon esprit, je devais agir pour sauver ma famille et tous les autres. Fonçant droit sur lui, je sortis mes dagues sans réfléchir. 15 mètres nous séparaient…. Pourquoi suis-je en train de faire cela…10 mètres… jamais je ne serai pardonné…6 mètres…. Je n’avais pas d’autre choix…. 2 mètres…. Trop tard pour reculer….. Tue moi et met fin à tout ceci !!!
Un éclair de lumière m’arrêta net à quelques centimètres de lui. Il prononça quelques paroles incompréhensibles et je perdis connaissance.
A mon réveil, il était la, assis, et me fixait du regard. J’étais désarmé et trop faible pour tenter quoi que ce soit. Il commença a me parler... me dit que tout était réglé… et que mon avenir était désormais entre ses mains. La Main d’Argent elle-même m’accepta comme recrue et m’offrit l’occasion de sauver les otages. Mais il était évidemment trop tard. Le camp des Defias était vide, et tous avaient été massacrés.
La seule raison qu’il me restait de vire est de tuer le chef des Defias. J’ai donc accepté la proposition d’Uther, et j’entrepris les études de paladin.
Un beau matin, je vis un message d’Uther lui-même me demandant de me rendre à ironforge ou mon entraînement pourrait commencer. Il était aussi écrit qu’il serait rapidement de retour, après avoir trouvé Arthas, le fils de feu notre roi, non loin d’Andorhal. Une histoire d’urne à protéger….
Jamais je ne l’ai revu ensuite…
10 ans plus tard, je me suis enfin décidé à changer de vie. Me voici face à la salle mystique d' ironforge.

Toujours Il Se Relèvera...

Parmi les joies qu'offre une vie de paladin, on compte les commandements du clergé et de l'ordre de la lumière, mais aussi l'honneur d'être une cible de choix pour tout hordeux qui se..... respecte est un grand mot pour une race telle, disons pour tout hordeux avide de combat.

Alors que j'étais en mission pour un petit groupe de scientifiques au cratère d'Un'Goro, je tombai nez à nez sur un mort-vivant. Celui-ci, au prise avec un Ravasaur me vit, et prit la fuite. Bien que parfaitement entraînée, ma monture n'arrivait pas à le rattraper sur un terrain si marécageux. J'ai donc décidé d'abandonner la course... Alors que je descendais de cheval, j'entendis un froissement de branche sur ma droite…suivie d'un craquement de branche sur ma gauche. J'étais encerclé. Je voulu me retourner, mais un énorme bâton en bois me heurta au visage. Sous la violence du choc, j'ai vacillé pendant quelques secondes, m'appuyant sur mon épée pour ne pas tomber.

Un deuxième coup suivit le 1er, et je dois cette esquive fort peu stratégique à une mare de boue sous mes pieds qui me fit tomber avant même que le choc ne se produise.
Je vis alors mon adversaire nettement : un Tauren de près de 2mètres 60 de haut, et aux muscles énormes. Il tendit les bras vers lez ciel, et une gerbe de lumière s'abattit sur moi. J'eu à peine le temps de rouler sur le côté pour l'esquiver. Décidé à m'occire, le Tauren tenta cette fois de m'envoyer un sort direct. Ne voulant guère goûter au plaisir d'être frappé à bout portant par une boule d'énergie pure, je bondis en avant droit sur lui. De justesse le coup fut détourné, et un échange de coups se fit suivre. Bien que moins tranchant que mon épée, son bâton devenait meurtrier par la seule force de ses bras. Mais après tout j'étais un paladin oui ou non? Un guerrier de la lumière ! Alors que la lumière vienne à moi ! Mon épée se mit à briller légèrement, puis de plus en plus, la lame vibrait sous mes doigts. Le Tauren chargea, portant un coup de haut en bas. Reculant mon pied droit d'un pas, je lui portai une attaque horizontale. Son bâton se brisa net en 2, et mon épée se logea de quelques centimètres dans son corps. Une légère grimace lui parcouru le visage, mais plutôt comparable à la douleur provoquée par une petite griffe. De son bras gauche, il attrapa mon bras et m'empêcha de reculer, de l'autre, il m'attrapa au coup. J’ai tenté de me débattre, mais sa force surpassait de beaucoup la mienne. J'avais de plus en plus de mal de respirer, ma vue se troublait.... je n'allais pas mourir de la sorte ! Consécration ! Le sol autour de moi vira au jaune lumineux, l'eau des mares devint tout à coup limpide, et le Tauren fut forcé de lâcher prise sous la forte brûlure qu'il ressentit partout sur le corps. A genoux, épuisé, il me transperçait du regard, il savait qu'il ne pourrait plus vaincre.
Moi aussi je me sentais à bout de force, mais quoi qu'il en soit, j'avais encore la possibilité de mettre fin à ses souffrances. L'expression de son visage changea. Il voulait mourir ! Son honneur, sa fierté, voulait cela. Il attrapa mon épée, poussa un cri, et se transperça lui même avant de s'étaler de tout son long, le visage a moitié enfoncé dans la vase.

Tout était calme subitement, plus un bruit.... seulement ce petit craquement qui se refit entendre. Un picotement dans le dos.... une douleur aiguë, puis un voile noir, et enfin.... le vide.

Etais-je mort? Je pense que oui, mais la lumière ne m'avait pas abandonné. J'avançais dans un long couloir, au bout, une lumière, comme dans les livres que j’ai pu consulter à la cathédrale. La lumière se rapprochait, de plus en plus.... J'allais la franchir mais....

D'un coup tout réapparu autour de moi. Je vis une silhouette se battre, armée de 2 dagues, contre une autre, plus massive, abritée derrière un immense bouclier. La seconde semblait humaine.... je pense. Un homme était penché sur moi, vêtu d'une robe blanche et grise, parsemée en quelques points de fils dorés. Il s'agissait certainement d'un archevêque de haut rang. Il me tendit une main et me releva. Il marmonna des paroles qui m'étaient encore incompréhensibles vu mon état encore somnolent. Cependant, je me sentais en parfaite santé. Une boule de feu passa à quelques mètres de moi et frappa de plein fouet la silhouette aux dagues, qui fut alors projetée sur un arbre. Ce dernier prit feu à son tour, et s'abattit dans les marais.
Un gnome, les mains fumantes, s'approcha du guerrier qui portait le bouclier. Celui-ci n'était en fait pas si grand que cela, mais jamais il n'avait été forgé pour un nain !

Les visages autour de moi semblaient refléter une joie apparente, c'était une nouvelle victoire de l'alliance !

Au Service De La Lumière?

Un jour, je me suis mis à réfléchir. Avais-je une vraie raison d’être au service de la lumière…Avais-je une vraie raison d’agir de la sorte ? Etre paladin est un honneur, il convient d’agir sans rien espérer d’autre en retour qu’une satisfaction personnelle. Mais dans un royaume dévasté et désuni, il est facile de se sentir seul.

Voici comment tout à commencé…

Le temps de choisir.

L’archevêque Bénédictus, un homme que je respectais plus que tout, presque autant que celui qui avait changé le cours de ma vie, vient de m’annoncer que je ferais mieux de partir. Des choses se trament, des décisions vont être prises, et il n’est pas bon pour tout membre du clergé de se retrouver parmi elles. Stormwind a bien changé sans son roi. Les quelques dirigeants restants sont tous corrompus jusqu’à la mœlle, et ils comptent bien dissoudre le dernier rempart encore assez influent restant. L’ordre de la Lumière demeure soudé face à la corruption du fléau, et ses rangs ne font que grossir.
- Pars, disparaît, je saurai te rappeler quand l’heure viendra.
- Mais enfin, la lumière saure veiller sur nous n’est ce pas ?
- Je l’ignore…
- Alors tout est déjà perdu. Si vous-mêmes vous doutez de…
- Je ne doute de rien ! J’ai dit que j’ignorais si la lumière pourrait vaincre les ténèbres.
- Pourquoi me parler à moi de tout ceci…
- Car de nous tous, tu es certainement celui qui à le moins de lien avec nous. Tu n’as ni choisi volontairement de nous rejoindre, ni jamais respecté les règles de notre ordre. Et pourtant, tu as su rester fidèle à notre ville, et continuer malgré tout à défendre notre royaume.
- Je ne suis qu’un homme parmi tant d’autres…
- Tu incarnes la justice, toi et ta guilde. Pour moi, la justice est une des plus nobles valeurs. Pars, j’en ai déjà trop dit.
- Si je pars, n’espérez pas que je revienne…
- Tu sauras prendre la bonne décision j’en suis sur.

Je fus donc forcé de rendre mon arme, et de partir. Je pouvais encore vivre du commerce des potions que je pouvais concocter…, mais cela ne suffirait pas.
Rapidement, je pu trouver un métier fort peu honorable, mais qui rapportait bien assez. Chaque mission était simple : tuer une cible, un homme, …

Bien que ce métier me répugne de plus en plus, j’ai pu ramasser assez d’argent pour m’équiper décemment. Mais il semble que la vie ne soit pas sculptée tel un long fleuve tranquille…
- Hé le nouveau, t’as vu qui tu d’vais tuer c’te fois ? Un morceau de choix haha !
- De qui s’agit-il ?
- Quoi ? t’es pas au courrant ! Ca nous vient droit d’la noblesse c’te fois ! Le trone se décide enfin à s’bouger….
- Le trône ? Le trône est à jamais souillé !
- P’tet, mais sans lui tu crèverais dans les ruelles du vieux quartier et sans le sou.
- Donne moi le contrat …
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***Recherché pour traîtrise et crime envers notre belle capitale : Archevèque Bénédictus****
***Apporter sa tête contre forte récompense.
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- Non…
- Ouais, ca va pas etr’ facile, mais il ne s’y attend pas, alors frappe vite et fort.

Je n’en croyais pas mes yeux…. J’avais l’impression que toute ma vie recommençait. D’abord l’association forcée avec les voleurs, puis cet ordre de tuer ether, le plus grand représentant de la lumière…. Mais pourquoi moi ?

Dehors, il pleuvait comme jamais il n’a plus sur ironforge. Les rues étaient inondées, charriant déchets et odeurs. J’ai couru à travers le vieux quartier, atteint le canal qui était sorti de son lit. Et malgré cette pluie, plus de la moitié des habitants étaient devant leur porte, regardant vers le quartier de la cathédrale. Un spectacle que je connaissais bien, une rébellion …

D’une part, divers assassins et gardes ayant eu eux aussi vent de ce contrat, et face à eux, en sous nombre, les quelques paladins encore fidèles à la cathédrale de la lumière. Le combat qui avait commencé sur un pont presque submergé par les vagues et la tempête venait de se déplacer jusque dans le quartier de la cathédrale. Bénédictus savait que tout ceci finirait par arriver, et il aura tenté d’éloigner le plus de monde possible… trop de monde peut être. Espérait-il que nous reviendrions à temps ? Peut être…. Cela suffit ! Trop de questions encore ! Il me faut agir.

J’étais à quelques mètres de leur dernier rang. Rapidement, je sortis mon arme d’hast fraîchement aiguisée et je pus expédier dans un autre monde trois des assaillants. Plusieurs se retournèrent vers moi, mais il ne s’agissait que de simples voleurs de bas niveaux pour la plupart, tous attirés par la récompense. Mais hélas, trop tard, les derniers paladins avaient tous succombés. Des hommes récemment recrutés apparemment … L’ennemi ne se souciait même plus de moi, tous foncèrent droit sur la cathédrale ou les deux derniers gardes les attendaient. Deux gardes… face à 40 hommes.
Pour tenter de protéger l’accès à la cathédrale, ils invoquèrent à deux une gerbe de lumière qui irradiait le sol autour d’eux, le rendant impraticable aux âmes non purifiées. Les 3 premiers assaillants s’y risquèrent, pour brûler instantanément. Un des voleurs décocha une flèche qui se planta dans le bouclier d’un des gardes paladin. Puis, ce fut une volée de flèches et d’armes de jets qui s’abattirent sur eux, les forçant à se replier dans la cathédrale.
Pendant ce temps, j’avais pu me glisser sur leur côté, pour me glisser à l’intérieur de la consécration de lumière que je pus traverser sans mal.

Mais Bénédictus n’était pas la… La cathédrale était déserte. Nous n’étions que 3 pour la défendre…
C’est a ce moment que j’ai perdu toute confiance en la lumière…

Trois... contre une trentaine de personnes. Sur ma droite, un paladin entassé sous une très épaisse armure, proposa de se jeter dans la bataille, occupant le plus de monde, pendant que moi et le 2eme, sur ma gauche, neutralisons l'ennemi.

Sans un instant de répit, il se jeta sur la foule, mais avant même d'atteindre les 1ers ennemis, une boule de feu le frappa de plein fouet et le propulsa sur une colonne de la cathédrale. Je sortis mon arme d'hast et la lançai sur le mage, le transperçant de part en part.

Cette fois, ce fut l'ennemi qui chargea sur nous. Bien que peu organisé, leur groupe réussit rapidement a nous encercler....
A bout de souffle, mon allié de gauche s'effondra sur le sol, a genou, priant pour que la lumière nous vienne en aide. Je ne savais que dire... que faire. Seul contre cette masse humaine, je ne pouvais rien, j'étais condamné à mourir la, au milieu de la cathédrale. Tel devait être mon destin...

Tout espoir semblait perdu.... avec ou sans la lumière.
"Mais vous ne m'aurez pas si facilement !"
N'écoutant que mon courage, j'ai ramassé l'arme du paladin gisant sur le sol, et, d'un geste circulaire, j'ai porté un 1er coup au visage d'un assaillant.
je vis une épée s'abattre sur moi, mais le coup était trop peu précis et je pu l'esquiver. Deuxième attaque, et un autre adversaire au tapis.
Me voyant ainsi lutter, mon allié se releva et sorti de sa poche un petit objet gnome.... Il l'alluma, et se jeta dans la foule. Une explosion se produisit aussitôt, dont le souffle projeta une dizaine de personne sur le sol.
Lorsque je voulu me retourner pour frapper un 3ele ennemi, une dague vint se planter dans mon ventre. Malgré la douleur, je gardais mon arme à la main, et pu mettre ce nouvel opposant au tapis.

Mais cette fois, ce fut le dernier... un nouveau coup d'épée me fit reculer et perdre l'équilibre.
Blessé et épuisé, tout comme mes 2 confrères évanouis sur le sol, j'ai hurlé une dernière chose :
"Idiots ! Benedictus n'est pas ici ! Il..."

Une voix grave surgit de derrière moi..
"Benedictus est ici... JE suis ici !"
Un éclair frappa un des assassins. Puis un second. Une explosion en envoya alors 2 au tapis. Ce fut ensuite 3 boules de feu qui vinrent s'écraser dans la foule. Un groupe de paladins venant de l'extérieur entra alors et acheva les quelques ennemis encore debout.
Une aura nous enveloppa tous les 3... la douleur avait disparu.
Des pas d'une dizaine de personnes se firent entendre. Benedictus, entouré d'une garde personnelle se tenait devant nous, les vêtements détrempés, dans le hall principal de la cathédrale.

"Ne désespère jamais, et garde foi en ce que tu crois réellement. La justice doit régner sur la capitale... et c'est grâce à vous tous que nous y arriverons.

Un Retour Aux Sources....

Et voici une nouvelle journée qui se termine, l'obscurité peut à nouveau recouvrir les terres dévastées des Plaguelands de l'Ouest.
Un héro est enterré ici, sa tombe domine une petite colline.
C'est grâce à lui si je fais aujourd'hui partie des combattants au nom de la lumière. Même mort, son pouvoir demeure tel qu'aucun membre du fléau ne peut approcher le tombeau, même si chaque jour le pouvoir de l'ennemi se renforce.
En arrivant ici, je n'imaginais pas tout le travail à faire. D'abord, ces foutus chaudrons à analyser et purifier. On m'a même demandé d'attaquer Andorhal. Je suis peut être fou, mais pas encore suicidaire. L'ennemi est en surnombre, et chaque combat doit se jouer à 1 contre 10.
De nombreux guerriers sont morts ici, et seules les plus vaillants.... a moins qu'il ne s'agisse des moins malchanceux, on pu survivre.
Mon sac était près, j'allais effectuer une petite ronde dans le cimetière, lorsqu'un cri déchira l'horizon. N'espérant guerre du renfort, je pris la décision rapide d'agir par moi même. Ma monture me conduisit très rapidement au cimetière, ou je vis une femme agenouillée derrière (*) un soldat. Encerclé, celui ci était aux prises avec un groupe de goules. La première n'écoutant que ses pulsions les plus primaires, se jeta sur le chevalier qui esquiva tant qu'il pu, avant de transpercer la tête de son agresseur d'un coup d'épée. Rapidement, 2 autres se jetèrent sur lui, la 1ère fut décapitée rapidement, mais la seconde parvint à déséquilibrer le combattant qui tomba à la renverse. Les 3 goules se jetèrent sur leur futur repas, mais celui ci eu encore la force de tendre son épée en avant, embrochant un des assaillants.
Témoin de cette scène, il me fallait agir au plus vite. Du regard je fixai la goule la plus proche, et prononçai une formule magique d'exorcisme. Une boule de feu sacré enveloppa ce tas de chair doté d'une pseudo vie et le fit exploser en miettes. Arrêtée nette par l'explosion, la seconde goule se jeta sur moi. Epuisé par cette attaque, je préférai en revenir à des moyens plus conventionnels. Je sortis mon épée, esquivai l'attaque d'un pas sur le côté, et donnant un coup par derrière, je découpai l'ennemi en deux.

J'allai ranger mon épée lorsque je vis derrière le chevalier un squelette, haut de plus de 2 mètres 50, armé d'une lance, esquisser une attaque balayant l'horizon. Une gerbe de sang se plaqua sur le sol, et le chevalier s'effondra. Un second cri retentit. La femme qui avait juste eu le temps de se cacher derrière une tombe attira l'attention du guerrier squelette.
Concentrant ce qui me restait d'énergie, je tentai d'exorciser ce géant, mais il fut plus rapide. Il lança sur moi sa lance qui, se plantant avec vivacité dans mon épaule, m'empêcha de lancer le sort.
Le squelette me regarda alors, et chargea. Incapable de bouger mon bras droit, je fit de mon mieux pour repousser son attaque de la main gauche. Le squelette s'arrêta net, distant d'à peine 2 mètres de moi. Une distance insuffisante pour que je le touche, mais suffisante pour que lui attrape le manche de sa lance. Il tira un coup sec dessus, et la planta dans le sol.
Chose que je croyais jusqu'alors impossible, le chevalier noir (car il s'agissait d'un squelette apparemment plus expérimenté que les autres) se mit à parler. Il me provoqua en un combat à mort, et dit s'appeler.... ou du moins c'était le nom qu'il portait de son vivant... "Mor'Ak". Un nom à consonance troll, ce qui expliquerait l'arme et la taille....
Mor'Ak me porta un coup circulaire rapide et précis que je parai non sans mal. De la main gauche, j'ai pu attraper son bras, et de la main droite, enfoncer mon épée dans ses côtes....
Mais hélas, je n'ai pu que le transpercer, rien d'autre. Je regrettai mon ancien marteau à ce moment. Ce n'était pas une arme tranchante qu'il me fallait, mais une arme écrasante....

Mor'Ak se saisit de mon épée, m'attira vers lui, et m'envoya quelques mètres en arrière d'un coup de poing bien placé, et très puissant pour un être mort depuis plusieurs années.

J'étais donc à terre, désarmé, et sans aucune possibilité de le blesser.
Il attrapa sa lance, ... je la vis s'abattre sur moi,... il y eu aussi un éclair de lumière, et il était la... oui, je l'ai vu... mais comment était-ce possible... que faisait-il la? Et encore cet éclair lumineux... mais que se passet-il enfin?

Lorsque je revins à moi, je vis avant tout la lance de Mor'Ak plantée à une dizaine de centimètres de moi. Quand à lui, il était allongé à terre, les côtes enfoncées et un bras arraché.
Je savais ce que j'avais vu, j'ai vu un homme... devant moi, s'interposer entre nous 2 et frapper l'ennemi, mais je savais aussi que le tombeau de cet homme était juste derrière moi... Comment a-t-il alors pu venir m'aider. Personne ne voudra me croire, mais quoi qu'il en soit, Mor'Ak à bien été tué par un marteau à la puissance colossale.

Ce qui semble sur à mes yeux, c'est que Sir Lightbringer, bien que mort, défendra encore et toujours le royaume d'Azeroth contre la menace du fléau

signé :grimlok seigneur paladin